Le rizo !!!

Tu n'arrêtes pas d'en parler donc il faut que je t'en donne des nouvelles, chère Linou! Le rizo grandit, fait son petit bonhomme de chemin! Il faut maintenant le consolider (surtout certaines branches!).

Déjà, jeudi soir, retour après la trève estivale au "Perroquet bourré": ça n'a pas changé, toujours aussi charmant ce petit bar! Mais, mais, mais, au lieu d'y aller entre filles nous avons convié Frederico (un Italien en erasmus en archi rencontré par les filles la fois d'avant alors que je mangeais dans un mauvais restau savoyard en compagnie de Ben), qui a amené son pote Marco et sur qui on tombe au perroquet? Sur Elischka et Hans (pardonnez l'orthographe..., deux Tchèques dans le même cas). Et là on peut concrètement dire que le rizo s'agrandit! C'est cool de passer une soirée avec des archis qui ont aucun a-prioiri sur toi! Nous finirons par manger du chocolat sur la place de l'Opéra... avant de rejoindre nos pénates...

Mais le plus extraordinaire, c'est que j'avais alors déjà prévu avec Elischka et Frederico d'aller au Fort St-Jean samedi aprèm pour découvrir un autre aspect de la biennale! Voilà des rencontres qui portent leurs fruits: tout de suite tu fais qqch le WE. C'était marrant, parce que c'était une expo d'affiches anti-tout-ce-que-tu-veux des années 70, autant en France qu'aux USA... et je crois qu'ils ont pas trop saisi le coup du Larzac, les dessins de Reiser et Wolinski n'avaient pas trop d'impact sur eux... Mais je dois dire que ces affiches sont magnifiques... et pas seulement celle du vénéré Bob Dylan! Excellente après midi en somme!

Et le soir, tandis que je faisais tranquillement de la méca (cimer Elise pour tes polys formidables!!!), les archi-ingé faisaient une petite fête chez Julien (on se souvient du coRock d'un soir), se demandant pourquoi je venais pas... eh oui, impossible de mettre la main sur mon numéro de téléphone... forcément, je serais venue si j'avais su... Mais ce n'est que partie remise! En fait je me suis rendue compte aujourd'hui que ça faisait trop du bien de se reconnaître, notre petite vingtaine, comme étant particuliers par rapport aux autres, comme appartenant à un groupe assez soudé malgré notre dissémination dans les différents groupes... pour moi d'aller déconner avec des gens que les filles connaissent pas.